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Que savons-nous de la santé de Mme Clinton? Nous savons qu’elle a subi deux thromboses veineuses profondes et un épisode de thrombose veineuse cérébrale. Le sang coagulé spontanément dans ses veines à trois reprises n’est pas une bonne chose. En fait, c’est mortel. Cela nous indique qu’elle a un état hypercoagulable nécessitant l’utilisation de Coumadin (un «mluant de sang») pour que le reste de sa vie essaie d’empêcher que cela se reproduise. Bien que Coumadin puisse empêcher les futurs caillots sanguins, cela peut également conduire à une hémorragie dangereuse si elle a un traumatisme futur.
Nous savons également qu’elle a subi une commotion cérébrale et, selon son mari, elle a pris 6 mois pour récupérer. Comment savons-nous qu’elle a récupéré?
Nous savons également par le camp de Clinton que Mme Clinton a eu une thrombose sinueuse veineuse transversale droite. Cela a été décrit comme un caillot de sang dans son cerveau, mais ce n’est pas exact. Plus précisément, c’est un caillot sanguin qui s’est formé dans l’une des deux principales veines qui drainent le sang du cerveau.
Le Dr Gerard, le Dr Gianoli, explique en détail la santé des deux candidats présidents et pourquoi cela est important pour les électeurs. Je suis honoré de présenter l’article, la santé de Clinton est-elle moins importante que celle de Trump?
Par Gerard J. Gianoli, M.D. L’un des meilleurs médecins américains.
Cascia Talbert
Fondateur
La santé de Clinton est-elle moins importante que celle de Trump?
Par Gerard J. Gianoli, M.D.
Imaginez, si vous le vouliez, que demain Donald Trump subit une commotion cérébrale. Supposons qu’il trébuche sur un escalier, tombant et lui frappant la tête. La blessure à la tête est si grave qu’il est inconscient pendant un certain temps et doit être hospitalisé pendant une semaine. Après être sorti de l’hôpital, la campagne Trump nous dit qu’il s’est complètement rétabli et qu’il n’y a pas d’effets persistants du traumatisme crânien. Au cours des semaines suivantes, il est vu en public pour porter des lunettes avec une lentille de Fresnel d’un côté. Il semble également avoir du mal à maintenir son équilibre, perd ses pensées au milieu des discours et a des épisodes de mouvements spasmodiques suggérant des crises.
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Dans ce scénario imaginaire, surprendrait-il quelqu’un si les médias devenaient sceptiques et pressés pour la publication des dossiers médicaux de M. Trump? Cela surprendrait-il quelqu’un si la campagne Clinton faisait un problème de l’état de santé de M. Trump lors des discours et des publicités télévisées? Les médias pleureraient-ils «naufratif» sur la campagne Clinton le faisant? Je pense que les réponses à ces questions sont évidentes. Les médias et la campagne Clinton seraient partout comme White on Rice et personne ne remettrait en question la pertinence de leurs actions.
À ma connaissance, M. Trump n’a pas eu de tels problèmes avec sa santé. Cependant, Mme Clinton a eu plusieurs problèmes – certains qu’elle a révélés et certains qu’elle n’a pas révélés.
Alors, pourquoi les médias n’ont-ils pas demandé à Mme Clinton de publier ses dossiers médicaux? Son état de santé est-il moins important que celui de M. Trump?
Que savons-nous de la santé de Mme Clinton? Nous savons qu’elle a subi deux thromboses veineuses profondes et un épisode de thrombose veineuse cérébrale. Le sang coagulé spontanément dans ses veines à trois reprises n’est pas une bonne chose. En fait, c’est mortel. Cela nous indique qu’elle a un état hypercoagulable nécessitant l’utilisation de Coumadin (un «mluant de sang») pour que le reste de sa vie essaie d’empêcher que cela se reproduise. Bien que Coumadin puisse empêcher les futurs caillots sanguins, cela peut également conduire à une hémorragie dangereuse si elle a un traumatisme futur.
Nous savons également qu’elle a subi une commotion cérébrale et, selon son mari, elle a pris 6 mois pour récupérer. Comment savons-nous qu’elle a récupéré? Si elle était athlète du secondaire, elle aurait subi des tests neuropsychologiques obligatoires avant d’être autorisé à participer à nouveau aux sports. Étant donné qu’être le leader du monde libre est plus important que de jouer le gardien de but pour le lycée local, pourquoi les médias grand public ne demandent-ils pas à voir les tests post-collaboration de Mme Clinton?
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Nous savons également par le camp de Clinton que Mme Clinton a eu une thrombose sinueuse veineuse transversale droite. Cela a été décrit comme un caillot de sang dans son cerveau, mais ce n’est pas exact. Plus précisément, c’est un caillot sanguin qui s’est formé dans l’une des deux principales veines qui drainent le sang du cerveau. Coumadin a été prescrit, pas pourDissolvez le caillot (ce ne sera pas le cas), mais pour empêcher le caillot de s’étendre à l’autre sinus veineux transversal, ce qui pourrait entraîner la mort. Cependant, le caillot de sinus transversal droit en soi provoquera des conséquences de longue date. Puisqu’il n’y a que deux veines drainant le sang du cerveau, le blocage de l’un entraîne une augmentation de la pression intracrânienne, qui restera un problème à vie pour ces patients.
Quels sont les symptômes d’une pression intracrânienne accrue? Les plus courants sont les maux de tête, les problèmes visuels et les étourdissements / problèmes d’équilibre. Nous savons que Mme Clinton en a eu trois. Les problèmes de concentration et de problèmes de mémoire à court terme sont moins connus. sonne familier?
Pourquoi les médias n’ont-ils pas renseigné sur les dossiers de santé de Mme Clinton aussi agressivement qu’ils l’ont fait lorsque le candidat du GOP John McCain a eu un cancer de la peau? Que montrent ses vérifications aux ophtalmologistes et aux neurologues? A-t-elle subi des tests neuropsychologiques, comme se fait systématiquement dans les cas traumatiques de lésions cérébrales?
Nous savons également par les e-mails DNC divulgués que certains des principaux médias étaient en collusion avec la campagne Clinton et le Parti démocrate. Serait-ce pourquoi ils n’ont pas poursuivi les problèmes de la santé de Mme Clinton? Il s’agit d’une question importante à explorer pour tout candidat de tout parti politique.
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En tant qu’Américain concerné, je demande aux médias: pourriez-vous faire votre travail?
À propos de l’auteur / contributeur:
Gerard Gianoli, M.D., F.A.C.S. Spécialise dans la neuro-otologie et la chirurgie de la base du crâne. Il est en cabinet privé à l’Institut Ear and Balance, situé à Covington, en Louisiane, mais est également professeur agrégé clinique dans les départements d’oto-rhino-laryngologie et de pédiatrie à la Tulane University School of Medicine. Il a lancé des traitements pour la déhiscence des canaux semi-circulaires supérieurs et d’autres troubles vestibulaires. Sa pratique privée a une portée mondiale, avec des références de patients venant de partout aux États-Unis et du monde entier. Ses intérêts de recherche incluent le diagnostic d’une pression intracrânienne accrue et ont été co-investigateurs dans une étude de la NASA, qui a conduit l’utilisation d’un dispositif non invasif pour une surveillance de la pression intracrânienne sur la station spatiale internationale.
Le Dr Gianoli s’est retiré de Medicare en 2001 et a une pratique sans tiers à 100% depuis 2005. Il a donné des conférences et écrites (ainsi que de nombreuses entretiens avec les médias) sur les pratiques médicales gratuites et les médicaments sur le marché libre. Ses éditoriaux sont apparus dans le Wall Street Journal, Forbes, Investor’s Business Daily, The Hill et d’autres périodiques populaires.
Il a reçu de nombreux prix, dont le prix d’honneur de l’American Academy of Otolaryngology, et a été nommé dans les meilleurs médecins américains et les meilleurs médecins américains chaque année depuis leur création en 2001 et 2003 respectivement. Le Dr Gianoli pratique tous les aspects de la neuro-otologie mais a un intérêt particulier pour les troubles vestibulaires (équilibre). Il a fait des recherches, a donné des conférences et publiées sur le sujet des troubles vestibulaires. Site Web: www.earandbalance.net
* Images gracieuseté de Slate.com
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